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Posts Tagged ‘entrainement’

Takemikazuchi-no-mikoto, patron des arts martiaux japonais

Le Shindo yoshin ryu reprend dès cette rentrée à Osny sous l’impulsion de deux instructeurs de notre école : sensei Daniele Valli et sensei Anthony Gilson. Vous pouvez donc découvrir et approfondir la pratique d’une véritable école classique japonaise tous les vendredi soir et samedi matin.

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Même si nous pratiquons sans interruption et accueillons des élèves toute l’année, le milieu sportif et culturel est habitué à l’année scolaire. Nos cours reprennent donc officiellement dès début septembre en Normandie.

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Les cours de Shindo Yoshin ryu débutent en Normandie, d’abord un premier cours au dojo de Vimoutiers, puis en extérieur cet été avant la rentrée.

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Comme je l’indiquais récemment, je déménage en Normandie. Et bien sûr, les arts martiaux faisant partie intégrante de mon quotidien, cela implique la pratique du Shindo Yoshin ryu, un jujutsu traditionnel, dans le bocage normand (lire : Shindo yoshin ryu en Normandie). Entre cours et construction d’un nouveau dojo, mes projets ne manquent pas, un nouveau cycle s’enclenche, renouvelant le précédent.

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Le weekend du 6 avril avait lieu au dojo Tesshinkan un workshop interne de TSYR. Une dizaine de personnes venues de Paris, Lyon, Lisbonne et même d’Angleterre ont pu s’entraîner pendant près de 14 heures aux techniques de l’école. Ils avaient pour celà toute l’attention de trois instructeurs: sensei Marco Pinto (Chuden Mokuroku), sensei Artur Pinto (Shoden Mokuroku), et moi-même (Shoden Mokuroku).

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aikikohaiQuel est l’intérêt de participer à un stage ? Tout d’abord cela pourrait paraître un poil saugrenu pour une koryu, une école où l’entrainement est fait en petit groupe et directement au contact du professeur. Mais à la différence du Japon pré-moderne où les écoles étaient pratiquement toutes sur l’archipel, parfois concentrées géographiquement (comme à Edo/Tokyo), la diffusion à l’international a allongé les distances et étiré ces liens.

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Ce weekend avait lieu le premier gasshuku (entrainement intensif) après la coupure estivale. Lors de ce samedi et dimanche, les élèves du Tesshinkan ont approfondi ensemble les techniques et traditions du Shindo Yoshin ryu durant douze heures. Certains d’entre eux venaient de loin pour pouvoir s’entrainer, ce qui permit de partager de bons moments ensemble hors tatami.

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stage privé à Osny

 

L’avantage lorsque son école possède un très grand nombre de kata, c’est de toujours avoir de nouvelles choses à apprendre. Et lorsque je parle d’un grand nombre, là on dénombre pas moins de 305 kata, et cela n’intègre pas les variations ou… Ceux qui ne portent pas le nom de kata !

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artiste : Utagawa Kuniyoshi (1861)

Il y a une ambiguïté entretenue par la communication des budo modernes (judo, karaté, etc…) et des sports martiaux. Nombres de clubs associent les pratiques modernes avec les samouraïs, attirant ainsi des passionnés de manga, de drama historiques japonais, de jeux vidéos ou simplement des personnes se rêvant chevalier japonais (car il s’agit bien souvent de cela dans notre culture mondialisée), et laissant parfois à croire qu’ils deviendront des samouraïs. On fait alors passer des budo (historiquement en rupture avec la classe des samouraïs et développés bien après leur disparition) ou des sports (création moderne sans rapport avec cette caste) pour des réminiscences de ce groupe fantasmé que représentent les samouraïs.

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Gekiken, ancêtre du kendo trés répandu à l'époque Edo comme méthode d'entrainement. On notera la longueur des tsuka.

Gekiken, ancêtre du kendo très répandu à l’époque Edo comme méthode d’entrainement.

 

Le musha shugyo est le voyage à la fois physique et spirituel que pouvait entreprendre un guerrier (mais pas que) pour parfaire son art. Cet élément a souvent été repris dans des films pour mettre en scène de nombreux combats et des dojo yaburi. Mais la fiction est-elle proche de la réalité historique ? Il nous reste un certain nombre de journal de ces musha shugyo, celui de Muta Bunnosuke est l’un d’eux et présente l’intérêt de nous donner quelques indices sur le monde du kenjutsu de la fin de l’époque Edo.

Le document traduit initialement par Sandro Furzi introduit l’époque de ce musha shugyo mais aussi les pratiques en vigueur. Je leur remercie pour son autorisation à traduire ce texte en français et j’espère que les lecteurs auront par ce biais un élément supplémentaire pour se représenter l’univers des koryu et du kenjutsu à la fin de l’époque médiévale japonaise.

Lien vers le document en français : Shokoku Kaireki Nichiroku. Bonne lecture.

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